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ON M'APPELLE LA MORT

Une voix nous raconte une histoire... Celle d’un jeune homme ex-délinquant, Yusuf, hanté par un passé dissolu. Son ami d’enfance Rafil, fidèle compagnon, est dans un service de cancérologie à l’hôpital royal de Copenhague. Il est atteint d’une tumeur au cerveau et ses espoirs de survie s’amenuisent au fur et à mesure du récit. C’est une danse inexorable avec la mort, mais ce n’est pas que cela. Cette maladie qui semble toucher étrangement toute la population est un cancer social, un crabe qui s’immisce silencieusement au fond de nous tous. Mais dans cette danse macabre il y a surtout Alma, l’amoureuse de Yusuf, un amour qu’il néglige, un amour qu’il aimerait s’inoculer pour combattre cette étrange épidémie, un amour de tragédie grecque. Halfdan Pisket fusionne à la perfection le réalisme social et la prose lyrique. Il devient encore une fois un funambule fabuliste halluciné et génialement hallucinant...

28 €
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PRESSE

L’un des meilleurs romans graphiques de 2020 !

« À l’instar de la trilogie, ce livre mêle réalisme social et fabulation poétique, prose lyrique et laconique, et dessin expressif. » Paul Gravett

Un très bel article dans la sélection Rentrée de la Matinale du Monde sur On m'appelle la mort de Halfdan Pisket !

"La grande faucheuse interpelle, tour à tour, les différents protagonistes de ce roman graphique existentialiste, d'une incroyable puissance."

"Un clair-obscur sépulcral emporte le lecteur dans un maelström de poésie noire."

Frédéric Potet - LE MONDE

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" C'est un dessinateur qui maitrise extrêmement bien le noir et blanc, un style à la fois très moderne et en même temps il y a une touche expressionniste, c'est vraiment une claque visuelle ! (...) C'est extrêmement réussi, c'est évidemment un roman graphique très très noir mais ce récit sombre et vénéneux est absolument envoutant !"

Émission ENTREZ SANS FRAPPER sur RTBF

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"Implacable - comme la faucheuse." FLUIDE GLACIAL

 
 
PRÉSENTATION

Loin des clichés sur la banlieue et ses délinquants, ici les jeunes s’aiment, souffrent et se questionnent sur la maladie, la mort et le sens de la société occidentale.
Entre les mailles d’une écriture poétique remarquablement maîtrisée, Halfdan alterne subtilement le point de vue du narrateur donnant à son récit cette impression magique de flottement entre les différents univers parfois invisibles et les sensations extrasensorielles des personnages très présentes.

On m’appelle la mort est un livre profond, existentiel, à la poésie sombre, troublant par son aspect autobiographique et métaphorique, un livre qui semble questionner les errements de l’humanité dans son entêtement à fuir l’essentiel, souvent invisible parce que trop énorme, à faire de mauvais choix souvent dysharmoniques, dont les dérèglements universels finissent par nous étonner encore, parfois... 

Et si l’individualisme forcené qui nous avait contaminé était encore plus déshumanisant, nous dépossédant de l’amour dont le dernier résidu se cachant dans un pli tenterait de résister par tous les moyens à la futilité, presque à notre insu. Parce que - malgré toute cette confusion, malgré notre petitesse, notre propre finitude devenue probablement trop taboue - notre être enfoui ne peut abandonner cette étincelle si fragile qui nous relie les uns aux autres. 

On m’appelle la mort est un livre essentiel, d’une force impressionnante, qui finit par retrouver la lumière dans un clair obscur éblouissant.

AUTEUR

Fils d'émigré turco-arménien né en 1985, Halfdan Pisket a suivi ses études à l'Académie royale danoise des Beaux-Arts de 2003 à 2009. Très vite, il auto-édite certaines de ses oeuvres comme "Vold" dont l'auteur était Hans Otto Jorgensen, et "Hail the Dark Lord".
Plus tard, Halfdan éprouvera le besoin d'écrire l'histoire de son père dans la trilogie qui débute par Déserteur paru en 2014 au Danemark suivi aussitôt par Cafard en 2015 et Dansker en 2016. La trilogie sera récompensé du Fauve de la meilleure série en 2019 au festival de la BD internationale d'Angoulême.

La narration restera toujours au centre de son travail qu’elle soit en vidéo ou en dessin. Dès lors la bande dessinée deviendra pour lui un moyen de retranscrire ses émotions tourmentées, violentes, en nous livrant toute l’intensité graphique et narrative qu’il recherche depuis toujours.

http://www.pisket.dk/

EN SAVOIR PLUS

 
Également l'auteur de la trilogie danoise Déserteur

Collection Lune froide

Traduit du danois par Jean-Baptiste Coursaud, format 20 X 27 cm, 312 pages, couverture cartonnée avec marquage à chaud argenté et orange sur papier mat noir profond, 28 €

ISBN : 978-2-917897-79-9

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